Juridische aspecten / Aspects juridiques ->


Jadis, j'ai pu lire dans une publication médicale : grâce à la vaccination, la variole a été éradiquée de la surface de notre planète Terre ! La classe politique nous promet la maîtrise de l'épidémie donc la reprise (enfin) d'une vie / économie normales, lors de l'obtention de l'immunité collective par la vaccination. Qui pourrait dans cette esprit être pratiquée à demi-dose (moins d'effets secondaires, avec ×2 personnes vaccinées). Toutefois, qu'il s'agisse de l'immunité naturelle (pour ceux qui ont contracté spontanément la maladie: test sérologique IgG+M peu préconisé), ou en moins efficace par la vaccination, on considère qu'elle n'est même pas censée prévenir la transmission du virus ! D'où le maintien de l'obligation des tests ± PCR, port du masque, et d'autres mesures réduisant toutes nos libertés.

Vous avez par vous-mêmes constaté en France qu'avec 3 rebonds épidémiques en 12 mois, le port du masque (je ne cite même pas le lavage / désinfection des mains) a montré son peu d'efficacité. De plus, on est en train de rendre la vaccination presque obligatoire avec des produits dont l'un entrainerait des thromboses mortelles, et dont pour tous, le dictionnaire VIDAL indique (avril 2021) :

   Autorisation conditionnelle : Une autorisation de mise sur le marché « conditionnelle » a été délivrée pour ce médicament. Cela signifie que des preuves supplémentaires concernant ce médicament sont attendues. L'Agence européenne des médicaments réévaluera toute nouvelle information sur ce médicament au moins chaque année et ce RCP sera mis à jour si nécessaire.

   Génotoxicité / Cancérogénicité : Aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n'a été réalisée. Il n'est pas attendu que les composants du vaccin présentent un potentiel génotoxique. Les études animales étudiant la toxicité potentielle sur la reproduction et le développement ne sont pas encore terminées. Une étude préliminaire de toxicité sur la reproduction chez les souris n'a pas révélé de toxicité chez les mères ou les fœtus.

-> Toutefois, ce même pouvoir médical (qui influence le politique, à moins qu'il ne s'agisse du contraire), fait à nouveau de la résistance avec l'IVERMECTINE (*), en proscrivant aux médecins d'essayer individuellement ce traitement connu / peu onéreux, dans les formes de Covid vues en amont des hôpitaux. Comme ce fut le cas avec l'AZITHROMYCINE 250, en boîte de 6 comprimés env.8 €. Que j'ai donnée à de nombreuses personnes infectées par le Covid, pendant des durées de 6 jours, avec à mon avis une bonne efficacité dans des formes peu dyspnéisantes. Toutefois, d'après les recommandations en vigueur, je n'aurais pas du le faire, pour ne pas donner un « faux espoir aux malades »

   (*) env.13 € = 4 comprimés, traitement validé de la gâle en dose unique, sans effets secondaires. L'EMA publie toutefois : « Les données disponibles ne soutiennent pas son utilisation pour le Covid-19 en dehors d'essais cliniques » ..

Enfin, rien n'est précisé dans la presse au sujet des traitements administrés aux si nombreux malades qui ne survivent pas à la réanimation, autres que l'oxygénothérapie, ou le fait de les retourner sur le ventre .. voilà ci-dessous l'histoire d'une maladie devenue politique :


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